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Témoignage

10Avr

Le Glossaire de la marque

10 avril 2020 letropicoco All, Témoignage
Cinq siècles avant notre ère, une délégation de la cour impériale s’incline devant Confucius et lui dit : « Maître, les enfants ne respectent plus leur père, ni les pères leurs engagements. Les digues n’étant plus entretenues, le Fleuve jaune sort de son lit et noie les récoltes. Les paysans, affamés, ont mangé leurs semences pour survivre et ne peuvent ni semer ni payer l’impôt. Les gouverneurs gardent l’argent du Trésor et les soldats sans solde dévastent l’Empire. Ce mandat céleste est interrompu. Maître, que faire ? » Confucius répond : « Un dictionnaire ».

Le Glossaire de la marque est un acte fondateur pour le conseil en stratégie de marque. Si la littérature marketing est abondante, cet ouvrage se distingue dans sa forme. Comme tout dictionnaire, il a été conçu pour être un outil à la portée du plus grand nombre. Étudiants en marketing, dirigeants, consommateurs, il sera utile à tous, professionnel ou non, quel que soit son niveau de connaissance et de culture du monde de la marque. Pourquoi ? Parce qu’il apporte une définition précise de termes utilisés parfois de manière aléatoire ou imprécise. Le Glossaire de la marque s’est ainsi donné pour objectif de mettre de l’ordre dans ce qui est devenu trop souvent un jargon impénétrable et excluant.

De même que le latin a représenté pendant des siècles la langue universelle des disciplines humanistes, scientifiques et juridiques, l’anglais est celle du branding. Un phénomène naturel, dû à l’origine anglo-saxonne de la pratique. La grande majorité des termes définis dans le Glossaire de la marque sont anglais et, parfois, intraduisibles en français. Qu’importe ! L’essentiel est de permettre à chacun de se réapproprier un sens, de redécouvrir un terme ou d’approfondir une notion. Ce vocabulaire doit être partagé : ce n’est qu’en parlant un langage commun que nous pouvons mieux nous comprendre et ainsi mieux collaborer.

Jean-Baptiste Danet, dans Le Glossaire de la marque (L’Express édition)

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23Mar

Portrait d’influenceur : Siècle Digital

23 mars 2017 letropicoco Témoignage

Profil de l’influenceur
Prénom : Valentin
Nom : Blanchot
Thème : digital, communication
Site : https://siecledigital.fr/

Quelles différences perçois-tu entre le journalisme papier et la rédaction web ?

On n’aborde pas les deux de la même manière. La presse papier peut se permettre de faire des phrases plus longues, utiliser un vocabulaire parfois plus compliqué, ainsi qu’une construction d’article différente. Sur le web, l’écran fait que les lecteurs perdent vite leur attention et retiennent moins bien l’information. Il faut donc être plus concis, faire attention à ne pas faire des phrases à rallonges. Sinon votre lecteur s’en va ?

Selon Le Blog du Communicant, et contrairement ce que peuvent dire de nombreux sites, le blog n’est pas mort. Qu’en penses-tu ? Doit-il encore évoluer ? Quelles évolutions à venir ?

C’est certain que le blog n’est pas mort ! Il va peut-être changer en revanche. Les gens ne feront peut-être plus de WordPress mais écrirons directement leurs articles sur Medium, LinkedIn ou Facebook. Internet offre un espace d’expression tellement vaste et libre qu’il y aura toujours quelqu’un pour vous lire et débattre avec vous.
Après, on dit beaucoup que la vidéo va remplacer les autres formats. C’est possible, mais il faudra toujours des formats écrits pour présenter un sujet ou laisser un trace. Donc il est possible qu’à l’avenir, les deux se mélangent un peu plus que ce que l’on peut voir actuellement.

On a beaucoup entendu parler de vidéo en 2016, s’agira-t-il en 2017 du contenu inévitable à toute stratégie de web social ?

Oui. Oui. Et encore oui ?
Même pour les médias, la vidéo va être très importante. Facebook, YouTube, Periscope, Snapchat, Twitter… Tous hébergent de la vidéo et sont des plateformes qui développent des technologies permettant de la rendre toujours plus intéressante.
D’un autre côté, les utilisateurs sont de plus en plus en demande de contenus vidéos. Il y a même des médias qui ne font déjà plus que cela (Brut, Minutebuzz).
Au-delà de l’aspect com’ et animation de communauté, la publicité vidéo va aussi se développer. Le format vertical notamment qu’on va retrouver dans Messenger Day, Facebook Stories, Instagram Stories, Snapchat… De plus en plus d’utilisateurs peuvent être ciblés et l’exercice du design vertical est intéressant à travailler.
Ensuite, il y a aussi la VR, et la AR … Mais difficile de se projeter sur leur impact pour les marques en 2017.

D’après toi, quelles ont été les événements les plus marquants de 2016 ?

Bonne question. Je pense que le plus important a été le lancement des chatbots par Facebook. Chaque année pendant le F8, Facebook lance de nouvelles technologies qui vont façonner ce que les autres font. Les chatbots vont vraiment être une source de contenu pour nous, internautes, dans les mois qui viennent.
Après, des événements marquants il y en a beaucoup : l’impact des fakes news sur l’élection américaine, le développement des IA, IBM qui arrive à écrire de la donnée dans un atome, la blockchain, etc.

Selon toi, quels seront les enjeux digitaux de 2017, à plus long terme ?

Les points de contact vont se multiplier avec les assistants vocaux, les chatbots, les IA, les objets connectés … Une marque se devra d’exister partout dans cet univers et il faudra être équipé (en personnes et en outils) pour maitriser tout cela. Dans cette maitrise, il faudra distinguer la maitrise technique (comment je gère mon chatbot, comment j’intègre mon application dans une montre connectée) mais aussi la maitrise des contenus qui y sont poussés. On ne mettra pas la même chose dans un assistant vocal, que dans une story Snapchat, même si l’information à transmettre est la même.

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09Fév

Portrait d’influenceur : The Fitness Theory

9 février 2017 letropicoco Témoignage

Profil de l’influenceur
Prénom : Charlotte
Nom : Beaulat-Clément
Thème : fitness, food
Site : https://www.instagram.com/thefitnesstheory/ et www.thefitnesstheory.fr

Tu as plus de 80K fans sur Instagram, 2K fans sur Facebook, tu gères le blog The Fitness Theory et tu publies des ebooks. Comment arrives-tu à gérer tout ça ? Y-a-t-il une partie que tu préfères ?

Pour l’avoir déjà fait, cette présence online, que j’ai créé de toute pièce en 2014, peut être un travail à temps plein : il y a toujours quelque chose à faire, un article à écrire, une photo à prendre, des mails auxquels répondre. Depuis que je suis employée à plein temps, j’ai du m’imposer une plus grande discipline, qui me permet de combiner à la fois ma vie professionnelle, le sport (puisque le suis bloggeuse sport et nutrition, c’est un pilier central de ma vie quotidienne), le blog et une vie sociale. En moyenne, je travaille 2 ou 3h par jour sur le blog en semaine (répondre aux questions, publier photos et articles sur les réseaux sociaux, etc.) et environ 5h par jour le weekend – puisqu’il faut prendre l’équivalent d’une semaine de photos pour instagram, luminosité oblige. J’aime me lancer des défis – j’arrive à la fin de mon 3ème ebook, qui me tient beaucoup à coeur – et, puisque c’est aussi un moyen de gagner de l’argent (je suis déclarée en auto entrepreneur), je le considère comme une série de tâches « obligatoires ». Bien sûr, ça reste du plaisir, et j’aime particulièrement passer du temps à écrire pour le blog. J’ai vu les stats monter au cours des mois et des années, je compte maintenant 55,000 visiteurs uniques par mois. J’ai à coeur d’offrir un contenu de qualité tout en gardant le coté « fun » pour moi.

Quelles difficultés concernant la rédaction web sur un blog en 2016 – 2017 ?

D’une part, on fait face à une concurrence toujours grandissante : je parle pour mon secteur, mais j’ai vu les blogs fitness et nutrition fleurir et c’est parfois un peu démotivant. Il faut sans cesse s’adapter aux changements d’algorithme des réseaux sociaux, aux updates de google. C’est un combat pour offrir un contenu intéressant et qui peut être vu par notre audience. Aussi, on est parfois un peu perdus : comment monétiser au mieux ma présence, quels outils sont faits pour moi, comment faire appel à des freelances pour des coups de pouce ponctuels ?
Bloggeur en 2017, c’est être en permanence à l’affut des évolutions du digital. Que l’on ait le temps ou non!

En tant qu’e-influenceuse lifestyle, peux- tu nous parler des nouvelles tendances de consommation que tu as observé ?

Un retour au naturel, de manière globale. Quand j’ai commencé le blog, axé au début purement sur la nutrition, il n’était question que de produits chimiques sans calorie, le focus était porté sur la perte de poids rapide. Ces derniers mois, un vrai retour au « mieux-être » s’opère : on cherche à manger mieux pour se sentir mieux, et pas pour être plus léger. Je vois aussi (parce que j’en fais partie) cette frange de bloggeurs sport qui, parce qu’encouragés par leur audience, se sont laissés dériver vers des extrêmes (toujours plus de sport, toujours plus « fit », toujours plus de restrictions, etc), en revenir et adopter un discours beaucoup plus positif quant au corps. C’est une vraie bouffée d’oxygène, et règne dans nos communautés (fitness et nutrition en France) un climat plus serein, plus apaisé, moins dans la lutte et la frustration. Quand la vague « healthy » a déferlé il y a 5 ans, venant des USA et d’Australie, on s’est tous rués sur une vision du corps parfait.. qui au final, ne correspond pas au mode de vie des personnes « lambdas ». Et ca ressent coté consommation! On en revient à des produits naturels, à la saisonalité des produits, à des plats « gourmands », à du sport plaisir (j’ai vu se multiplier les offres comme Try&Do, qui permettent de tester un peu tous les sports à Paris, plutôt que s’enfermer dans une seule salle pour lever de la fonte)… Du fun, du sain, du naturel. Tout le contraire d’il y a 2 an.

Quels seront, selon toi, les enjeux digitaux de 2017 ?

Je dirais une réflexion profonde sur l’influencer marketing, qui me semble capitale si on veut garder un système efficace et ne pas lasser le consommateur. Parce qu’on est des milliers à avoir un peu d’impact sur le comportement d’achat d’une niche, les marques ont tendance à nous considérer comme le nouveau graal de la com online et a balancer des produits gratuits et des communiqués de presse comme si parler d’eux étaient une obligation. Mais les influenceurs ne sont pas des outils marketing: ce sont des humains, et je pense que le point fort de ce nouveau levier c’est justement les relations à long terme que l’on peut créer avec eux. Recevoir un produit gratuit en one shot ne m’apporte rien, par contre je tisse des relations de confiance depuis plusieurs mois (voire années, pour Natural Mojo) avec des marques, qui écoutent mes propositions créatives, qui me récompensent à hauteur de ce que je leur rapporte, et qui estime notre partenariat comme un atout. J’ai déjà des retours de followers qui me disent qu’ils en ont assez de voir toujours les mêmes marques sur instagram, sur les blogs, etc. On peut faire du marketing plus intelligent que ça, j’en suis convaincue, et il faut que les marques le comprennent avant d’arriver à saturation.

2016 était l’année de la vidéo, tu as toi-même créée une chaine YouTube. S’agit-il selon toi d’un contenu inévitable aujourd’hui ?

J’ai créé ma chaine youtube parce qu’on me l’a très longtemps réclamé. C’est un medium dont je ne suis pas vraiment adepte, étant relativement introvertie à la base. Je le fais parce que « je dois le faire », mais j’en tire une expérience: je suis obligée de travailler le montage vidéo et mes apparitions à l’écran. C’est un jeu, en somme. Je ne serai jamais une grande youtubeuse, je respecte les gens qui font ça mieux que moi – j’ai des amis youtubeurs chez qui ça a été inné : ils ont commencé bien avant la vague de 2016, et sont passés à des formats vidéos beaucoup plus lifestyle (instagram stories, snapchat, facebook live) depuis. Je sais que viendra aussi le moment ou je devrai m’y mettre à mon tour, et je le redoute un peu, mais quand on veut garder une fanbase adepte et habituée à ce genre de média, il faut savoir faire des compromis.

Je sais que tu es expatriée à Singapour, quelles différences as-tu pu remarquer sur les usages des réseaux sociaux par rapport à la France ?

Moi qui pensais arriver dans une région au top de la technologie, je me suis retrouvée à devoir expliquer à mes employeurs l’intérêt e Twitter, et les Dos and Don’ts d’instagram, par exemple. Instagram est (en asie de manière globale) réservée à la mode et aux photos de plats de restaurants, facebook garde le même coté « promotionnel » qu’en europe et twitter est quasi inexistant.. alors que des réseaux comme whatsapp et wechat sont à inclure dans toutes les stratégies. J’ai même découvert des plateformes de blogging coréennes, dont certaines stars ont des millions et des millions de fans.. et dont personne en france ne soupçonnerait l’existence. Je crois qu’en Asie, en tout cas à Singapour, le culte du paraitre est encore plus exacerbé qu’en France: on achète pour montrer sur Instagram, on fait des selfies partout ou l’on va (il y a même un café nommé « selfie » qui imprime votre propre photo sur votre matcha latte… un must!) .. la culture est différente, et ça se ressent aussi sur les réseaux sociaux, en somme.

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26Jan

Portrait d’influenceur : Le Blog du Communicant

26 janvier 2017 letropicoco Témoignage

Profil de l’influenceur
Prénom : Olivier
Nom : Cimelière
Thème : communication, digital
Site : www.leblogducommunicant2-0.com

Vous êtes un expert de la communication, pourriez-vous vous présenter ?

Après avoir été journaliste en presse écrite et en radio pendant quelques années, je me suis orienté ensuite vers la communication d’entreprise à l’époque où celle-ci commençait à prendre de l’importance dans les organisations. Mon bagage de journaliste qui a appris à écouter, interroger et croiser l’information, m’a permis de développer une communication plus ouverte autant à l’interne qu’à l’externe, et fondée sur des contenus véritablement utiles et des actions concrètes qui vont au-delà de l’effet d’annonce. J’ai ainsi occupé diverses responsabilités de communicant dans différents secteurs : santé, alimentaire, télécoms et Internet. L’avènement des réseaux sociaux et du Web interactif a été le déclic pour lancer en mai 2010 mon blog, Le Blog du Communicant, et agréger une communauté qui a une conception moderne de la communication et qui intègre pleinement les nouvelles façons de communiquer.

Quelles différences percevez-vous entre le journalisme papier et la rédaction web ?

Mon sentiment est que cette dichotomie a de plus en plus tendance à s’estomper même si çà et là, certains continuent d’opposer les deux notions. La presse a opéré sa mue digitale, non sans douleur certes. Le papier est probablement amené à être utilisé pour des formats bien spécifiques que le Web ne peut pas traiter pareillement. L’exemple de « Le 1 » est à cet égard remarquable. Il a su réinventer une forme de journalisme écrit en misant sur la qualité de l’écriture, la profondeur des analyses, l’originalité des infographies, tout cela dans un journal qui se déplie et qui se consacre uniquement à un thème précis par numéro. A mes yeux, Web et papier sont complémentaires en termes de consommation des médias mais aussi de lectorats visés. Pour s’en convaincre, il suffit de voir les expériences éditoriales que Le Monde et L’Equipe mènent sur Snapchat pour toucher un jeune public qui ne lit pas les quotidiens.

Quel avenir pour le format du blog ? Croyez-vous-en « la fin du blog » ? Quelles sont selon vous des perspectives, les évolutions à venir?

Cela fait 20 ans que certains petits malins annoncent la mort des blogs ! Et pourtant, ces derniers sont toujours là ! Les acteurs ont en partie changé et l’offre s’est étoffée mais il y aura toujours de la place pour le format du blog et toujours des personnes qui souhaitent écrire et partager une passion, une expertise ou des convictions. L’essentiel est que le contenu soit pertinent. C’est, si j’ose dire, le même défi que pour la presse : proposer un contenu de qualité, original et avec une vraie valeur ajoutée. Dans une stratégie de communication, le blog conserve toute sa raison d’être. A condition de l’envisager comme autre chose qu’une plaquette publicitaire. En termes d’évolution, il est probable que les blogs seront de plus en plus intégrés via des outils de publication comme Pulse que Linkedin propose à ses membres pour rédiger des articles. Une chose est sûre : le blog est loin d’être mort !

Selon vous, quels seront les enjeux digitaux de 2017, à plus long terme ?

Ils sont multiples mais j’en distingue 3 particulièrement cruciaux pour les communicants : l’infobésité, le temps réel et les « fake news ». Avec l’avènement du digital, c’est un raz-de-marée de contenus qui est disponible. Toute la difficulté est donc de parvenir à émerger et être visible auprès de ses publics prioritaires. Lesquels sont submergés de sollicitations et accordent du coup leur attention de manière volatile. Ensuite, il faut dorénavant composer avec le temps réel. Les premières images de la tuerie à l’aéroport de Fort Lauderdale le 6 janvier ont d’abord été diffusées sur Periscope. Cela oblige à disposer d’une veille efficace, à travers une Social Room par exemple, et d’être agile pour répondre ou faire entendre sa voix. Enfin, il faut de plus en plus faire face à des rumeurs, des canulars et des fausses informations qui sont lancés délibérément. L’élection présidentielle américaine de 2016 a clairement montré que ce phénomène prenait de l’ampleur. Cela va supposer d’être en capacité de rectifier et de faire du « fact-checking » sinon les « fake news » risquent d’être ce que retiennent les gens au final.

On a beaucoup entendu parler de vidéo en 2016, s’agira-t-il en 2017 du contenu inévitable à toute stratégie de web social ?

La vidéo est indéniablement le type de contenu qui ne cesse de croître. Les années à venir confirmeront cette tendance lourde. En revanche, ce qui est intéressant avec la vidéo (au-delà de l’aspect attractif et dynamique), c’est que les formats se multiplient. Aujourd’hui, on peut faire une « story » de 10 secondes sur Snapchat, proposer un flux vidéo sur Facebook Live, diffuser une vidéo interactive en 360° sur YouTube, voire publier des vidéos en réalité augmentée où l’internaute choisit son parcours éditorial. Sans parler de la réalité virtuelle qui offre une expérience totalement immersive. Autant dire qu’il n’y aura que l’embarras du choix en matière de vidéo !

Vous avez récemment publié un ouvrage intitulé « Managers, parlez numérique », pouvez-vous nous en parler ?

C’est un livre à la fois plaidoyer et de réflexion autour de 10 arguments clés pour revisiter de fond en comble sa stratégie de communication à la lumière des disruptions que le digital a générées. J’ai illustré le propos avec des cas d’étude concrets tirés de l’actualité récente. Pour autant, il ne s’agit pas d’un manuel opératoire ou d’une boîte à outils mais clairement d’un ouvrage qui encourage les dirigeants, les managers et évidemment les communicants à mettre à jour leur logiciel de communication à tous niveaux. Aujourd’hui, votre réputation n’est plus le seul fruit de vos discours. Elle est une équation instable où de nombreux acteurs parlent et où l’entreprise, le dirigeant, la marque, etc doivent contribuer et s’exprimer. Persister dans les schémas des années 2000, c’est prendre le risque d’être dépassé et pas crédible auprès de vos communautés.

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